Votre mission: -Super Héros du Bois - version chantier -Manier les ossatures bois, charpentes et planchers comme un chef, avec la grâce d'un grutier de ballet et la précision d'un menuisier ninja. -Ajuster, corriger, poncer, découper... bref, faire parler le bois jusqu'à ce qu'il obéisse. Même s'il résiste, on reste calme (sauf après le 3e clou tordu). -Organiser le chantier comme un général en bottes de sécurité : prévoir le matos, répartir les troupes et ne pas oublier la cafetière. -Contrôler les matériaux comme un douanier du bois : si ce n'est pas aux normes, ça repart direct ! -Monter des structures bois solides, élégantes et droites (sauf si c'est une oeuvre d'art moderne). Être force de proposition... ou au moins force de café quand les idées manquent. Portrait (presque) robot du charpentier moderne : -Il connaît son bois comme d'autres connaissent leurs classiques. Avec lui, chêne, sapin ou lamellé-collé n'ont plus de secrets (ou presque). -Il maîtrise les techniques du bâtiment, les équipements dernier cri, les normes, et même les mises à jour logicielles (oui, il a lu le mode d'emploi. Enfin, parfois). -C'est aussi un chef d'orchestre de chantier : il organise, il coordonne, il priorise... et il garde toujours une visseuse à portée de main, au cas où l'organisation tourne au chaos. -Il ne craint pas le vide, ou plutôt... il y travaille. Le charpentier grimpe, s'équilibre et danse sur les poutres comme un funambule, avec un harnais et une bonne dose de sang-froid. -Il a le compas dans l'oeil, un goût certain pour le calcul (surtout quand ça évite que le toit s'écroule), et des mains aussi précises qu'une imprimante 3D. -Il est vif, réactif, et surtout pas du genre à paniquer quand une poutre décide de ne pas rentrer comme prévu : c'est là que l'esprit d'initiative (et parfois un peu d'huile de coude) fait la différence. -Aujourd'hui, il ne quitte plus son ordinateur ou ses machines à commande numérique. Il tape, clique, modélise... puis retourne visser, clouer, monter. Le tout en gardant un oeil sur la sécurité, parce qu'un charpentier averti en vaut deux, surtout quand il est perché à 10 mètres de haut.