Pour le CHRS qu'elle gère, l'association SOS Femmes Accueil recrute un/e intervenant/e social/e à temps plein. Poste à pourvoir dès que possible. Le centre d'hébergement et de réinsertion sociale (CHRS) comprend 89 places réparties d'une part dans un collectif sécurisé et, d'autre part, dans 12 logements en diffus, à proximité immédiate. La très grande majorité des personnes accueillies sont des femmes et leurs enfants le cas échéant avec des familles avec un homme adulte peuvent être hébergées dans les logements en diffus. L'équipe est jeune et dynamique. Supervisée par une cheffe de service, elle comprend des travailleurs sociaux, une infirmière, une éducatrice de jeunes enfants, une auxiliaire de puériculture, une psychologue. L'association gère un CHRS depuis 1981, qui s'est développé depuis. Elle met en œuvre la politique gouvernementale du Logement d'abord qui favorise le relogement des personnes accueillies aussi tôt que possible et, également, le retour vers l'emploi. Le poste, polyvalent, vise notamment à : - accueillir, renseigner, conseiller, accompagner des femmes victimes de violence accompagnées de leurs enfants le cas échéant et des familles sans hébergement, parfois déboutées de l'asile ; - analyser la situation, proposer et mettre en œuvre les solutions retenues et les démarches inscrites dans un contrat de séjour ; - collaborer en équipe au bon fonctionnement de l'établissement et au respect des règles d'hygiène et de sécurité ; - réaliser des interventions pédagogiques sur le logement et le savoir-habiter ; - participer à la communication du service et à son développement. L'activité du salarié recruté sera placé sous l'autorité hiérarchique de la cheffe de service et du directeur. Elle prévoit des compte-rendu réguliers et un niveau élevé de coopération. Déplacements à prévoir (véhicule fourni). Le/a candidat/e s'intéresse non seulement à la question des violences faites aux femmes et souhaite s'impliquer concrètement dans la lutte contre le phénomène et l'accompagnement des personnes concernées mais aussi à la précarité et aux conséquences de la pauvreté sur les ménages.